On passe la frontière !

De Futaleufu, 10 km d’asphalte (enfin) nous séparent de la frontière avec l’Argentine. Facile ? C’était sans compter notre négligence. Sortir du Chili check, pas de problème. Arrivée 500 m. plus loin (sur gravier! Et oui c’en est fini de l’asphalte) à la minuscule douane de l’Argentine la fille nous parle d’un papier. Quel papier? Ha celui qu’il ne falait pas perdre en entrant au Chili? C’est le douanier du Chili qui l’a! C’est là que barbe de bouc (nous le nommerons ainsi pour des raisons évidentes) sort son Anglais. You have to pay reciprocity taxe. Heuuu non! C’est pas aboli cette taxe? … Ben ç’a l’air que non. Pourtant… Non. Bon ok c’est combien? Là barbe de bouc m’explique que nous devons le faire sur internet, imprimer le reçu avec le code barre AVANT D’ARRIVER À LA DOUANE. Vous devez retourner au Chili pour le faire. Ouach, et ça ca fait mal! Plusieurs sénarios déroulent dans nos têtes, surtout qu’on ne sait toujours pas le prix. Dis donc barbe de bouc, on peu pas le faire ici ton truc sur internet? Non. Mais comme il est gentil, c’est pas un douanier Amaricain face de pit bull, il me fait venir de son côté du comptoir et il me montre le site pis en deux trois clics m’explique quoi faire. Nous repartons donc vers le Chili, sans papier. On fait quoi pour la douane Chilienne? On viens de où là? C’est là la la la que le TRÈS GENTIL DOUANNIER DU CHILI nous offre son bureau avec son ordinateur et l’imprimante pour nous dépanner. C’est là que vieille barbiche(ça c’est moi, pour des raisons évidentes) tente de nous acquitter de notre devoir de citoyen Canadien (comme si on payait pas assez de taxes). Trouver le bon endroit pour s’inscrir, ouff, 30 minutes. Passer le test  » je ne suis pas un robot  » en Espagnole une autre demi-heure. C’est evec fierté que nous nous représentons chez barbe de bouc avec nos documents (qu’il regarde a peine) et 250$ can de moins pour passer en Argentine sans être fouillé ou scanné!

Voici un vrac de photos de la dernière semaine.

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Sur la route vers Futaleufu, Chili.

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Randonnée à Futaleufu, Chili

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Las Natalias, notre auberge pour Noël, Futaleufu.

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Nous rencontrons beaucoup plus de cyclistes, même des Argentins.

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Il fait chaud!

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Marché à Bolson, Argentine.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Bonne année

Fêter le nouvel an avec de nouveaux amis. Bonne idée! Patricia, que nous ne connaissions pas hier nous accueil ici à Bolson. Ville de hippies où les motars roulent pas de casque et où les musiciens et artistes sont vêtus de façon très coloré. Après tout, ce temps de l’année n’est-il pas un temps de partage et d’amitié? Nous vous souhaitons autant d’amitié et de partage et pas seulement le 31 Janvier!

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Dans la catégorie, c’est la fois ou …

imageC’est la fois ou Robert c’est trompé entre le tube de colle et le baume à lèvre ! Ça colle les babines!

C’est la fois ou Josée a oublié le frein à main pendant que nous roulions plusieurs km en monté et faux plat ! Ha la la !

C’est la fois ou Robert c’est encore trompé entre le tube de pate à dent et l’antiflogistine. Ça n’a pas le même goût!

Patagonie

Patagonie

Patagonie.

On vient en Patagonie pour les paysages, ça aide quand il fait beau! Chanceux, la pluie fût de soir et de nuit presque tout le temps de notre passage! Nous campions dans les parcs nationaux ou en bord de route sauf aux villes portuaires comme Puerto Aisen et Quellon .

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Un peu de randonnée pour changer et voir le glacier Colgante.

Encore chanceux, lors de notre passage dans la vallée verde, Villa Maniguales, les lupins sont en fleurs.imageimageMalgré notre chance, il ne fait pas chaud et quand il pleut, comme à notre arrivée à Puerto Aisen, on se les gèles. Nous remontons donc au Nord comme prévue à bord du traversier pour 30 heures de paysages vue de la mer, incluant quelques arrêts aux îles. imageimageimageimageCe soir nous reprenons le bateau pour Chaiten(encore) mais cette fois en direction de l’Argentine. Encore de la gravelle et des montagnes au menu.imageimage

Journée de pluie, journée de repos

Depuis cette nuit, c’est le déluge en Patagonie. Heureusement au camping la Sirenas une cuisine est à notre disposition avec un poêle à bois qui aura pris deux heures a chauffer et internet !

 Si le confort est minimale, c’est quand même mieux que sous la pluie! Nous planifions donc l’itinéraire qui doit composer avec la route en construction qui ferme de 13 à 17h tout les jours. Nos deux premières journées sur la carretera furent ensoleillées et magnifiques. Même si les deux autres furent sous les nuages et avec de légères averses la route en vaut la peine. Il ne nous reste que 60 km de route de gravier en construction avant de rejoindre une grande section pavé de 150 km. Bientôt la carretera Austral sera complètement pavé de Chaiten à Coyhaique.
 Puisqu’hier nous n’avions que 45 km de route pas trop difficile et surtout sans construction, nous nous sommes permit une petite randonnée.
 Plusieurs parcs en Patagonie sont de propriétés privé. Des philantropes tel les anciens PDG et fondateur des compagnies Patagonia et North Face, ce couple a investi pour protéger 2 millions d’acres.
 La petite bourgade de Puyuhuapi (toujours difficile a prononcer) fut fondée par des Allemands en 1935. Village agricole et de tissage de tapis. De nos jours, le tourisme fait vivre la majorité des gens. Le coût des campings a presque doublé en un an et est identique d’un camping à l’autre.
 La route comme ci-haut, n’est pas en construction et se roule très bien en tandem.
 En espérant moins de pluie pour les prochains jours 🌥⛅🌤☀

Caretera Austral, Chili

Sur le traversier pour Chaiten, nous modifions nos plans. Malgré la météo pluvieuse qui nous est promise nous roulerons les 400 km pour rejoindre puerto Aisen ( Chacabuco ) par la mythique Caratera Austral. Voici donc un petit diaporama des trois premiers jours.

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