En 1984 nous avions un 35 mm argentique qui pesait lourd dans la sacoche guidon et nous limitions les prises de photos pour ne pas trop utiliser de négatifs. De nos jours, le numérique fait fois de tout. Plus léger, plus performant et on peut en prendre des tonnes de copies. Attention quand même à bien sauvegarder vos précieux souvenirs. Plusieurs méthodes se valent, mais une bonne sauvegarde sur un disque dur externe reste sûre et fiable. Pour un court séjour, nous prenons quelques cartes mémoire au lieu d’une seul, ça minimise les risques.

Nous utilisions un Pentax K-50 avec deux objectifs (10-20 grand ange et un zoom 18-250) jusqu’en 2017 : Le bris de notre objectif 18-250 lors du voyage en Birmanie nous a fait réfléchir sur la pertinence de poursuivre avec Pentax en changeant d’objectif ou de repartir à neuf. Après recherches et réflexions nous avons décidé de passer au sans miroir ou hybride 4/3. Notre nouvelle appareil , l’Olympus OM-D EM5 markII tropicalisé est plus léger, plus compact. Nous y avons greffé deux lentilles, la Zuiko 17 mm f1.8 et une 14-150mm f4-5.6. L’avenir nous dira si ce fût la bonne décision. Plusieurs voyageurs et photographes de rue sont passé à ce type d’appareil plus discret. Nous le testons présentement et il sera du prochain voyage. Le Pentax est rangé, mais il pourrait toujours reprendre du service avec une nouvelle lentille !

Le chargeur avec deux piles et le petit adaptateur Apple pour le brancher au mur au lieu du grand fil encombrant qui vient avec les chargeurs.

Les filtres de protections pour les lentilles, un cellulaire pour le déclenchement à distance et deux minis trépieds (le Zip Shot de Tamrac et le Pixi de Manfrotto) . Nous ajoutons au moins deux cartes mémoire rapides de 16GB . Comme nous apportons aussi notre MacBook Air et un disque dur externe, nous pouvons transférer nos photos en sécurité. Il ne reste plus qu’à ajouter le kit de nettoyage dont voici les composantes. Un crayon, une poire, un nettoyeur de capteur.