Arrivée le 8 mai à Lisbonne nous prenons la route vers notre hôtel après avoir remonté le tandem à l’aéroport et remplacer les câbles car un avarie c’est produit lors de l’emballage.
Arrivée tôt nous avons le temps de faire une petite visite avant d’aller prendre du repos pour mieux poursuivre le lendemain. Après un petit post sur FB nous avons la surprise d’apprendre qu’un membre de notre famille se trouve aussi à Lisbonne et prenons le temps de fixer un rendez-vous pour le lendemain. Dire que ça fait des années que nous nous sommes vus.
Maintenant Lisbonne, une charmante ville tout en dénivelé dans ses vieux arrondissements, rue de pavés, murs blancs ou colorés recouverts parfois de tuiles. Vraiment une belle ville mais super touristique. Même le fameux tram 28 public est envahi de touristes au grand désespoir des Lisboetes. Mais pour avoir accès aux quartiers bien en hauteur c’est un incontournable à moins de faire une bonne marche. De plus le musée d’azulejo fut fort intéressant avec toute ces tuiles.
Maintenant il est temps de reprendre la route. Nous avons décidé de nous diriger vers la ville d’Évora, ville classée au patrimoine avec ces murailles, son aqueduc et son temple romain. Il y a aussi son église d’os mais nous avons passé notre tour.
Le Portugal est bien producteur de vin mais surtout le plus grand producteur de bouchons de liège. Les chênes liège sont partout tout comme les pins. Faut dire que le sol est sec et pauvre.
D’Évora nous roulons vers le sud et la région de l’Algarve avec ces falaises, ces plages et les petits villages de pêcheurs devenus villages touristiques sans oublier que c’est le temps des cigognes, des cactus qui fleurissent et il y quand même un peu de cornes dans les prairies.
Il faut bien se rendre à Sagres, la pointe sud-ouest du pays et de l’Europe pour un coucher de soleil.
Il y a profusion de marcheurs le long des côtes pour différents parcours plus ou moins longs.
De Sagres, direction est en longeant plus ou moins l’Euro-vélo 1 et donc la côte. Le Portugal est un peu la Floride des français. Il fait beau, plus chaud et ce n’est pas dispendieux. Les campings nous coûte autour de 10€, le café expresso moins de 1,5€, la bière un peu plus et le vin débute à 2.5€.
Concernent la langue, le portugais, ne pas confondre avec l’espagnole, il y a quelques fois des rapprochements mais c’est tout. D’ailleurs les portugais n’apprécient pas vraiment d’être abordé en espagnole. Par ailleurs l’affichage est souvent en portugais, en anglais, en français et l’allemands mais très rarement en espagnole, cela en dit long.
Nous arrivons d’Australie et de la Nouvelle Zélande ou les toilettes et l’eau potable étaient présentes partout. Faudra réapprendre à planifier nos besoins de bases car ici les toilettes se font très rare!
Nous verrons si cela sera pareille en Espagne mais …..
Note à moi même: Ne pas jeter le papier cul dans la toilette mais bien dans la poubelle.
Note à moi même: Ne pas oublier mon papier cul car il n’y en a pas de fournit.
Note à moi même: Ne pas oublier d’acheter du papier cul parce que manquer de précieux ça fait chier.