Dès notre arrivée à Santiago, ville de 6 millions d’habitants, deux anges nous attendent. Merci Maria-Ester pour le contact. Rosa et Walo nous accueillir pour deux jours en compagnie de leur petit fils Michel. Heureusement pour nous, Michel parle Anglais parfaitement, car notre Espagnol est très déficient. De plus les Chiliens parlent très vite et escamotent des syllabes. Ouff!
Nos trois premiers jours de vélo furent, mmm, humide! Un soir en vrai camping, un soir en camping sauvage au bord du lac Llanquihue et finalement une soirée au sec dans une auberge. Les routes sont magnifiques autour du lac avec une piste cyclable la plupart du temps. Il ne manquait que la vue sur les volcans coincés dans leurs nuages. Nous nous croirions en Suisse ou en Allemagne avec l’humidité de l’Irlande. Les prix sont aussi comme en Suisse. Le Chili étant le pays le plus dispendieux de l’amérique du sud.
Notre deuxième rencontre aura lieu le long d’une route de gravelle très accidentée. En fin de journée nous repérons un terrain de soccer près de deux maisons. Nous demandons la permission. Le jeune homme (13 ans) nous dit oui, mais sur le coté du terrain car nous allons jouer avec mes amis. Ok. Nous on se dit tanquilo, va pas y avoir grand monde! Une vingtaine de jeunes de 3 à 17 ans se présentairent pour jouer un bon deux heures, non stop. Les quatre plus jeunes accompagnièrent à notre installation. Puis passé 20h. Ils quittèrent et nous pûmes nous coucher et lire sous la tente jusqu’à 21:30 sans lampe. Fait pas noir la nuit ici!Le lendemain matin, notre jeune homme et sa grande soeur viennent nous chercher pour un café à la maison, la petite Alexia de 3 ans était inquiète de nous.
Notre troisème rencontre se fit grace à warm-shower chez Cecilia à Ancud sur l’île de Chiloé. Nous avons partagé un suculent repas de moules géantes. Une autre belle soirée. Bonus elle a Wi-Fi.
Bon voyage les jeunes, attention à vous